« La nuit avale la Porte de Versailles comme un rideau trop lourd. Des silhouettes se pressent sous la lumière blafarde des panneaux, promenant au bout de leurs doigts des manettes tièdes et des promesses — des promesses de peurs mesurées, de frissons apprivoisés. À la lisière de l’automne, la Paris Games Week se métamorphose : plus salon que foire, plus théâtre que stand, elle devient un bestiaire de néons et d’ombres où des monstres pixelisés attendent qu’on les éveille. On vient pour tester des exclus, on repart parfois avec quelque chose de plus ancien que la nouveauté : un frisson qui vous colle à la nuque. Si vous aimez Halloween, ou si vous aimez qu’on vous fasse peur en public, cette édition 2025 vous parle. Prenez votre lampe torche. Ne la perdez pas. »

Chapitre 1 — Le Chapeau / L’Ouverture : Quand les écrans se lèvent
Le vent d’octobre s’engouffre dans les allées de la Porte de Versailles, charriant cette odeur humide d’automne mêlée à celle, électrique, des câbles chauffés. Les portes vitrées du Hall 1 s’ouvrent avec un soupir métallique, et des milliers de pas s’y engouffrent comme un seul battement de cœur. Paris Games Week 2025.
Quatorze ans que la bête revient. Chaque automne, elle s’éveille sous les néons, plus affamée, plus bruyante. Mais cette fois, il y a quelque chose de différent.
Les affiches sont noires et orange, les mascottes sourient avec des dents trop longues, et le programme a des reflets de cendres et de sang. Le hasard — ou le diable — a voulu que la PGW tombe sur Halloween. Et soudain, le plus grand salon du jeu vidéo français s’est transformé en une cathédrale de lumière hantée par des pixels possédés.
Dans la foule, on devine déjà les murmures :
“T’as vu ? Little Nightmares III est jouable au stand JBL Quantum.”
“Y’a une démo Five Nights at Freddy’s, mais pas sûr d’en ressortir entier.”
“Et cette soirée Paris Games Night, t’y vas toi ?”
Les visages se maquillent, les casques s’enfilent comme des masques de rituel. On dirait un sabbat numérique : des prêtres de la manette, des sorciers du clavier, des démons de l’arcade.
Au-dessus d’eux, les écrans clignotent, tels des yeux ouverts dans le noir.
Les cris d’effroi et les applaudissements se mélangent — impossible de savoir si on célèbre la victoire ou la peur.
Bienvenue à la PGW 2025, édition Halloween.
Ici, les exclusivités sortent de l’ombre, les cosplayers deviennent des créatures, et le jeu n’est plus seulement un loisir : c’est un rituel collectif.
Si vous écoutez bien, entre deux trailers, vous entendrez peut-être quelque chose — un souffle. Ce n’est pas le vent. Ce sont les consoles qui murmurent :
« Jouez… si vous l’osez. »
️ Chapitre 2 — Les Portes du Salon (dates, horaires et lieux maudits)
La Paris Games Week 2025 se tiendra du 30 octobre au 2 novembre à Paris Expo – Porte de Versailles, au cœur du Hall 1 et du Hall 2.2.
Quatre jours. Quatre nuits.
Autant dire : quatre actes d’un même rituel, où chaque visiteur devient, sans le savoir, un protagoniste.

Les portes s’ouvriront dès l’aube — 9h30 pour les impatients, ceux qui campent devant les grilles avec le regard brillant et le sac à dos gonflé d’attente.
Elles se refermeront tard — 21h la plupart des jours, un peu plus tôt le dernier, comme si le salon craignait lui aussi la tombée du rideau final.
La lumière des stands baisse doucement à mesure que le soir approche. Les écrans vacillent. On sent la fatigue, mais aussi ce frisson : celui d’avoir passé la journée entre deux mondes — celui des vivants, et celui des pixels.
️ Billetterie :
Les billets s’achètent en ligne sur le site officiel (parisgamesweek.com), avec plusieurs formules :
-
Billet jour unique, pour une plongée éclair dans le cœur de la fête.
-
Pass 2 jours ou 4 jours, pour ceux qui veulent s’y perdre, littéralement.
-
Et, plus rare, le billet Premium, clé dorée ouvrant un accès prioritaire à certaines zones, réservée à ceux qui savent que le temps est une denrée précieuse dans les enfers de la file d’attente.
Lieu :
Paris Expo – Porte de Versailles, 1 place de la Porte de Versailles, 75015 Paris.
Les visiteurs peuvent y accéder par le métro (ligne 12 – Porte de Versailles), le tram (T2 ou T3a), ou même à pied, si le courage ne leur manque pas.
Mais attention : à la tombée du soir, le brouillard du périphérique n’est pas toujours ce qu’il semble être. On y voit passer des silhouettes — cosplayeurs ? ombres ? Personne ne sait.
Halloween Inside :
Cette année, la coïncidence des dates donne au salon une couleur particulière :
-
Le 31 octobre, jour officiel d’Halloween, sera marqué par des animations spéciales : stands d’horreur (JBL Quantum, Little Nightmares III, Five Nights at Freddy’s), concours cosplay macabre, distribution de friandises, et une ambiance sonore et visuelle dédiée à la peur.
-
Les allées seront plongées dans des lumières orange et violettes, des sons grinçants, et des écrans clignotants comme des bougies tremblantes.
Ce n’est plus seulement un salon. C’est un décor vivant.
Les zones à ne pas manquer :
-
Hall 1 : les géants — PlayStation, Xbox, Nintendo, Ubisoft, Capcom — étalent leurs royaumes de LED et de bruit.
-
Hall 2.2 : la curiosité — Games Made in France, les studios indépendants, le retrogaming MO5, les développeurs qui bricolent des cauchemars à la main.
-
Scène PGW Coca-Cola : le théâtre de l’e-sport, où le public rugit devant les écrans géants comme devant une arène antique.
-
Et, bien sûr, la Paris Games Night, soirée d’ouverture du 29 octobre, plus confidentielle, où le salon se révèle dans sa forme la plus brute, presque chamanique.
⚡ Conseils du survivant :
-
Venez tôt : les files d’attente devant les démos sont déjà longues dès 10h.
-
Chaussures confortables : 10 km de stands, et l’impression de marcher dans un rêve — ou un cauchemar.
-
Casque ou bouchons d’oreille : entre deux trailers explosifs et trois concerts e-sport, les tympans finissent par saigner de plaisir.
-
Hydratation & nourriture : plusieurs food-corners sur place (hall central), mais les prix peuvent piquer plus qu’un boss de Dark Souls.
-
Planifiez : téléchargez le plan officiel sur le site de la PGW — sinon, vous risquez de tourner en rond jusqu’à croiser vos propres pas.
La PGW 2025, c’est un labyrinthe.
Un labyrinthe de sons, de lumières, et de rêves électroniques.
Et comme dans tous les bons labyrinthes, ceux qui y entrent ne ressortent jamais tout à fait les mêmes.
️ Chapitre 3 — Les Ombres qui s’annoncent (avant-premières et exclus à ne pas manquer)
Chaque Paris Games Week a ses stars, ses divinités de pixels qui descendent des nuages marketing pour s’incarner sur les stands, le temps de quelques minutes jouables.
Mais cette année, quelque chose dans l’air murmure que les exclusivités ont les dents longues.
Les projecteurs découpent la brume d’octobre, et derrière les écrans géants, les monstres se réveillent.

️ Little Nightmares III — le cauchemar grand format
Dans le stand JBL Quantum, l’obscurité est presque totale.
Des silhouettes s’avancent, casque sur les oreilles, visage éclairé par la lueur livide de l’écran.
On entend des grincements, des pas feutrés, le souffle court d’une petite fille pixelisée.
La démo de Little Nightmares III — jouable pour la première fois en France — attire une file interminable de curieux et de courageux.
C’est un jeu qu’on ne joue pas, on le subit : chaque ombre a une intention, chaque bruit est un présage.
Et quand la démo se termine, on retire le casque avec ce mélange d’effroi et d’excitation qu’on ressent après une bonne histoire d’horreur : celle qui s’infiltre sous la peau.
Five Nights at Freddy’s: Into the Pit — le retour du monstre mécanique
Un peu plus loin, dans une zone saturée de néons violets et de cris soudains, Freddy refait surface.
L’animatronique le plus célèbre du jeu vidéo se dresse sur le stand Warner/Steel Wool Studios.
Des joueurs hurlent, rient, se filment.
La démo est courte, mais elle frappe fort : l’ambiance est poisseuse, métallique, et chaque clignement de lumière fait sursauter la foule.
Halloween oblige, le stand devient une attraction à part entière — un manège cauchemardesque où la peur est programmée au millimètre.
Silent Hill 2 Remake — murmures dans la brume
La rumeur était vraie : Konami est présent, et la démo de Silent Hill 2 Remake attire les nostalgiques comme des papillons autour d’une ampoule mourante.
La reconstitution est sublime — ou terrifiante.
L’équipe de Bloober Team a su redonner à la ville maudite son parfum de cendre et de solitude.
Sur place, les visiteurs évoquent « un malaise exquis », ce moment où la beauté et l’horreur s’entrelacent.
On murmure que certains journalistes ont quitté la démo blancs comme des draps, les mains tremblantes sur leur carnet de notes.
Silent hill la peur chez les vivants dans la brume de debisugaoka
⚔️ Elden Ring: Shadow of the Erdtree — la tentation du retour
Sur la scène Bandai Namco, les âmes perdues affluent à nouveau.
La grande extension d’Elden Ring est enfin jouable.
Entre deux trailers au son orchestral, des joueurs s’avancent pour affronter des créatures titanesques, sous les cris d’un public hypnotisé.
Ce n’est plus un jeu, c’est un rite initiatique : on y laisse quelque chose de soi — patience, souffle, innocence.
Un démon numérique vous regarde tomber, encore et encore, et vous sourit.
Metroid Prime 4 & The Legend of Zelda: Echoes of Time — le calme avant la tempête
Chez Nintendo, le stand est une forêt de couleurs, mais sous les lumières vives, la tension est palpable.
Les visiteurs ont les yeux rivés sur Metroid Prime 4, enfin jouable en avant-première, après des années d’attente.
Le gameplay est précis, nerveux, presque organique.
À quelques mètres, une courte vidéo de The Legend of Zelda: Echoes of Time — encore non jouable, mais présentée à huis clos à la presse — provoque une file d’attente aussi silencieuse qu’un pèlerinage.
La promesse n’est plus une annonce : c’est une apparition.
Ghost of Yotei — la surprise glaciale
Annoncé discrètement par PlayStation Studios, ce nouveau titre développé par un studio japonais fait sensation.
Inspiré des légendes du Hokkaido enneigé, Ghost of Yotei mêle exploration, spiritualité et effroi.
Le trailer dévoilé à la PGW 2025, projeté dans une salle sombre du Hall 1, arrache des frissons à un public médusé.
On y voit des masques de démons figés dans la glace, des temples silencieux, des pas dans la neige.
Et cette voix, chuchotée, qui dit : “Tu n’aurais pas dû venir seul.”
On se surprend à regarder autour de soi, juste pour vérifier que personne ne vous observe.
Les surprises indé : l’angoisse faite main
Dans l’espace Games Made in France, les projecteurs sont plus doux, mais l’ambiance n’en est pas moins inquiétante.
Des développeurs indépendants présentent leurs créations :
-
No Signal : une aventure psychologique sur fond de télévision hantée.
-
Cendres Numériques : exploration narrative dans une ville effacée par la mémoire collective.
-
Tiny Fear : puzzle platformer mignon et malsain, où chaque réussite éteint une lumière de plus.
Ce sont des jeux d’angoisse à échelle humaine, créés par de petites équipes qui ont troqué le budget contre la folie pure.
Entre rêve et cauchemar : l’art du trailer
À chaque heure, les écrans géants diffusent de nouvelles bandes-annonces.
Des cris, des applaudissements, des silences.
Certains trailers s’enchaînent comme des séquences d’un film d’horreur collectif.
Les spectateurs, hypnotisés, ne savent plus où s’arrête la fiction.
Une main touche une autre dans la foule — juste pour vérifier qu’on est encore là, ensemble, dans le monde réel.
Cette édition de la Paris Games Week est une porte ouverte sur les ténèbres du jeu vidéo.
Les avant-premières s’enchaînent comme des visions.
Certains visiteurs repartent les bras chargés de goodies, d’autres avec un regard étrange, comme si quelque chose dans le salon avait effleuré une partie d’eux qu’ils auraient préféré laisser dormir.
Le jeu vidéo, après tout, n’est jamais qu’un miroir.
Et parfois, le reflet qu’il renvoie n’est pas le nôtre.
Chapitre 4 — Les Allées de l’Épouvante (stands et animations Halloween)
Dès que l’on pénètre dans le Hall 1, la PGW 2025 vous engloutit comme une forêt obscure.
Les néons oranges et violets se reflètent sur le métal des stands, et chaque écran géant semble cligner de l’œil comme un monstre patient.
Le ton est donné : ici, Halloween n’est pas un détail. C’est une atmosphère, un parfum, une vibration qui traverse les murs et se glisse sous la peau.

Stand JBL Quantum : le royaume des cauchemars
Au centre du hall, le stand JBL Quantum attire immédiatement l’attention.
Leurs installations ne sont plus de simples démonstrations audio : elles sont devenues un théâtre de peur immersive.
-
Little Nightmares III et Five Nights at Freddy’s sont jouables sur des setups qui semblent conçus pour créer l’angoisse maximale.
-
Chaque joueur reçoit un casque enveloppant, isolant, qui transforme les bruits les plus subtils en frissons : un grincement, un souffle, le cliquetis d’une chaîne…
Les files d’attente elles-mêmes deviennent des corridors hantés, décorées avec des éléments d’horreur, des masques suspendus, des lumières vacillantes.
Les visiteurs qui osent s’y aventurer reviennent avec des histoires à raconter : des moments où l’on a cru sentir la main d’un animatronique sur l’épaule, ou entendre un rire qui ne provenait pas du public.
️ Cosplay macabre : les habitants des ténèbres
Dans les allées, les cosplayers ne sont plus de simples fans : ils sont les habitants de ce labyrinthe effrayant.
-
Des Samara modernes glissent entre les stands.
-
Des Slenderman pixellisés se tiennent silencieux près des consoles.
-
Les zombies de Resident Evil errent entre les joueurs, plus convaincants que jamais.
Un concours officiel de cosplay Halloween attire les foules : le Hall 2.2 se transforme en scène de théâtre macabre où la lumière souligne chaque ombre.
Chaque personnage est un fragment de cauchemar rendu réel.
Les visiteurs prennent des photos, mais la vraie peur ne s’exprime pas dans l’objectif : elle se vit à hauteur d’œil, de souffle et de frissons.
⚡ Paris Games Night : la nuit inaugurale
Le 29 octobre, veille de l’ouverture officielle, la Paris Games Night propose une expérience limitée mais intense.
-
Les stands ouvrent en nocturne.
-
Les premières démos exclusives sont disponibles.
-
L’ambiance est feutrée, presque chuchotante.
Les visiteurs sélectionnés pour cet événement racontent avoir ressenti un mélange étrange : excitation, crainte et extase.
Les lumières clignotent, les musiques s’entremêlent, et chaque pas résonne comme si le hall respirait.
Autres stands et animations thématiques
-
Bandai Namco : des mini-challenges horreur, mêlant Dark Souls et Tales of Arise, avec des décors rappelant des cimetières virtuels.
-
Ubisoft : zone Survival Horror avec des expériences VR immersives.
-
Sony / PlayStation : corners avec jeux narratifs sombres (Silent Hill 2 Remake, Ghost of Yotei), intégrant sons et lumières interactifs.
-
Indés français : Games Made in France propose des micro-jeux d’angoisse, conçus pour un impact maximal malgré une échelle réduite.
Chaque stand semble raconter sa propre histoire, mais ensemble, ils forment un récit collectif : celui de la PGW comme un labyrinthe hanté, où chaque joueur devient explorateur de son propre frisson.
️ Ambiance sonore et visuelle
L’animation Halloween ne se limite pas aux jeux :
-
Des projections lumineuses sur les murs du Hall 1 et 2.2 créent des silhouettes mouvantes, comme si la réalité se déformait.
-
Les bruits ambiants, mélange de cris de monstres, de musiques électro-angoissantes et de voix distordues, renforcent le sentiment que le salon respire, vit et observe.
-
Les effets de fumée, néons vacillants et LED rouges parviennent à transformer une simple allée en passage obligé pour le courageux.
Même pour ceux venus uniquement pour les nouveautés, impossible de ne pas être happé par l’atmosphère : le mélange des jeux, des lumières et des costumes crée une expérience immersive totale.
Pourquoi ne pas manquer ce chapitre de PGW
-
Immersion totale : chaque pas, chaque démo est conçue pour surprendre.
-
Cosplay et communautés : voir les créations macabres en mouvement vaut autant que jouer aux jeux.
-
Photogénique et viral : l’ambiance est parfaite pour des photos et vidéos destinées aux réseaux sociaux.
-
Halloween comme fil rouge : le salon transforme la thématique saisonnière en événement majeur.
La PGW 2025 n’est plus seulement un rendez-vous pour joueurs, journalistes ou influenceurs : elle devient un théâtre vivant de l’horreur digitale.
On n’y entre pas seulement pour tester des jeux : on y entre pour ressentir, pour frissonner, pour se perdre un peu… et parfois se retrouver plus vivant que jamais.
⚡ Chapitre 5 — Les Arènes du Chaos : e-sport et scènes majeures
Au cœur de la Paris Games Week 2025, les écrans géants ne sont pas là que pour montrer des trailers ou des démos.
Ils sont les fenêtres d’un autre monde : celui des compétitions e-sportives, où chaque joueur devient gladiateur et chaque spectateur, témoin complice de l’angoisse et de la gloire.

️ La Scène PGW Coca-Cola : l’arène des champions
Dans le Hall 1, la Scène PGW Coca-Cola trône comme un amphithéâtre moderne.
Les projecteurs balaient le public et illuminent les joueurs comme des statues suspendues dans le néon.
Chaque match est un drame :
-
League of Legends, Valorant, et Rocket League s’enchaînent, mais sous le prisme d’Halloween : décors sombres, sons amplifiés, effets lumineux évoquant les ombres de monstres.
-
Les cris des spectateurs résonnent comme un écho dans une caverne, chaque victoire ou défaite frappant l’air comme un marteau.
Les commentateurs, micro à la main, narrent chaque affrontement avec une intensité théâtrale. Leur voix, parfois saturée par les basses, devient un instrument d’angoisse et d’excitation, un fil tendu entre tension et jubilation.
1V1 Arena : frissons garantis
À quelques mètres, la 1V1 Arena propose une expérience plus intime mais tout aussi intense :
-
Chaque duel est une danse macabre de réflexes et de stratégie.
-
Le public entoure les tables de jeu comme des spectateurs de gladiateurs, silencieux puis explosant en cris au moment des coups décisifs.
-
Les écrans tactiles et les manettes vibrantes deviennent des extensions du corps, et la tension est presque palpable dans les airs saturés de néon et de musique synthétique.
Le Halloween de la PGW transforme ces affrontements en rites rituels : chaque victoire est célébrée comme un exorcisme, chaque défaite comme un avertissement.
Les joueurs entrent dans l’arène avec la même appréhension qu’un enfant franchissant un couloir hanté.
Scène indépendante et retrogaming : un frisson plus intime
Non loin de là, dans le Hall 2.2, les petites scènes consacrées aux studios indépendants et au retrogaming vibrent d’une intensité différente :
-
Les compétitions de jeux rétro, sur bornes d’arcade ou consoles vintage, provoquent des réactions presque viscérales.
-
Chaque score élevé est applaudi, chaque défaite suscite des soupirs, mais la sensation d’intimité rend l’angoisse plus subtile, plus viscérale.
Les visiteurs peuvent tester leurs réflexes, affronter des boss pixelisés, et sentir cette adrénaline qui rappelle que le frisson du jeu n’a pas de limite d’âge ni de génération.
️ Animations et show e-sportives
-
Des démonstrations en direct, mêlant e-sport et expériences immersives, permettent au public de devenir acteur de la tension : quiz rapides, défis express, ou mini-boss géants dans les jeux VR.
-
Les commentaires live et les caméras qui passent sur les joueurs accentuent le côté spectacle, donnant une impression de théâtre hanté, où chaque spectateur est à la fois voyeur et participant.
-
Certaines compétitions, comme le tournoi de Street Fighter VI ou de Tekken 8, sont retransmises en streaming avec filtres Halloween, ce qui ajoute au sentiment que le salon vit sous une malédiction numérique bienveillante.
⚔️ Pourquoi les scènes e-sport valent le détour
-
Adrénaline et spectacle : on ne se contente pas de regarder, on ressent chaque action comme si elle touchait son propre corps.
-
Atmosphère immersive : lumières, sons, effets spéciaux — tout est conçu pour amplifier la tension.
-
Communauté et frissons partagés : le public réagit comme un seul corps, vibrant au rythme des combats.
-
Découverte de talents : des joueurs amateurs côtoient des pros, et chaque duel peut créer la surprise ou l’exploit de l’année.
La PGW 2025 transforme l’e-sport en une nuit de frissons collectifs, où la peur et l’excitation se mêlent, où chaque victoire est célébrée comme un petit exorcisme et chaque défaite comme un rappel que même les héros peuvent tomber.
Et à la sortie de l’arène, on se sent à la fois vivant… et légèrement possédé par l’expérience.
️ Chapitre 6 — Les Laboratoires de l’Étrange : Games Made in France et Indés
Derrière les géants et les projecteurs du Hall 1, dans le Hall 2.2, une autre magie opère.
Les allées y sont plus étroites, moins illuminées, mais chaque stand est un monde en soi, un laboratoire d’idées folles et de cauchemars numériques.
Bienvenue dans le territoire des studios indépendants français, là où l’horreur et la poésie se côtoient.

Games Made in France : la créativité dans l’ombre
L’espace officiel Games Made in France rassemble des studios locaux qui, loin du gigantisme des blockbusters, créent des expériences profondément immersives :
-
No Signal : une aventure psychologique où une vieille télévision devient un portail vers un univers corrompu, et où chaque action du joueur déclenche un frisson palpable.
-
Cendres Numériques : exploration narrative dans une ville désertée par la mémoire, avec des énigmes qui s’installent dans l’esprit comme des murmures persistants.
-
Tiny Fear : un puzzle platformer où chaque succès éteint une lumière, mais chaque erreur fait renaître un monstre du décor.
Chaque jeu est un micro-univers où l’on ressent une atmosphère aussi dense qu’un couloir hanté : le son, la lumière et la mécanique du jeu fusionnent pour créer un frisson durable.
Les développeurs sont là, souvent disponibles pour raconter leur processus créatif, et chaque explication semble ajouter une couche d’ombre à l’expérience.
Retrogaming : les fantômes du passé
Non loin, les associations de retrogaming (comme MO5) installent des bornes d’arcade et des consoles rétro.
Les joueurs, jeunes ou nostalgiques, retrouvent la tension simple et viscérale des jeux d’antan : pixels flous, sons saturés, ennemis qui surgissent sans prévenir.
-
Castlevania, Alone in the Dark, Resident Evil sur PlayStation classique… chaque machine est un portail vers un cauchemar d’époque.
-
Les visiteurs s’immergent, parfois à plusieurs générations de distance, et ressentent la peur et l’excitation de manière directe et brute.
Même ici, l’esprit d’Halloween n’est jamais loin : décorations légères, néons vacillants et musiques remixées ponctuent les expériences rétro, rappelant que la peur peut être à la fois simple et élégante.
Le charme de l’Indé français
Le stand indépendant n’est pas simplement une vitrine : c’est un lieu de rencontre, un endroit où les idées audacieuses prennent vie.
-
Les développeurs expliquent comment ils ont conçu leurs environnements pour surprendre et effrayer.
-
Chaque joueur devient un acteur, un explorateur, un spectateur et parfois, involontairement, un personnage du cauchemar créé par ces studios.
-
L’éclairage subtil et les sons modulés rendent la visite presque sensorielle, comme si le Hall 2.2 lui-même respirait et observait.
⚡ Pourquoi explorer cet espace ?
-
Découverte de talents locaux : voir naître des jeux qui pourraient devenir des classiques de demain.
-
Expérience intime et immersive : loin de la foule et des projecteurs, le frisson est plus personnel, presque viscéral.
-
Interactions avec les créateurs : comprendre le processus de création, les intentions et les astuces qui rendent un petit jeu mémorable.
-
Mélange d’ancien et de nouveau : retrogaming et nouvelles idées se rencontrent, créant une expérience unique, à la fois nostalgique et moderne.
Dans ce coin plus discret de la PGW, Halloween trouve une résonance particulière.
Les jeux indépendants et rétro ne cherchent pas à éblouir par le gigantisme, mais à capturer l’essence du frisson, celle qui vous fait retenir votre souffle dans le noir et regarder derrière vous avant de continuer.
C’est là que la magie de la PGW devient complète : des blockbusters aux micro-expériences, tous unis par la promesse d’un frisson partagé.
Chapitre 7 — Dans l’Œil du Monstre : reportage immersion
Il ne suffit pas de marcher dans les allées de la Paris Games Week 2025 pour ressentir l’âme de l’événement.
Pour comprendre son atmosphère, il faut se mettre à hauteur d’œil, respirer les sons, sentir les lumières et écouter les murmures des stands.
C’est ce que propose le reportage immersif : une plongée dans le monde où le jeu vidéo devient théâtre, musée et labyrinthe hanté à la fois.

Capturer l’ombre : la photo et la vidéo
Pour un photoreportage digne d’Halloween :
-
Néons et silhouettes : capturer les jeux de lumière et les cosplayers dans des poses naturelles ou théâtrales.
-
Écran & reflet : immortaliser les visages illuminés par les écrans, où se lisent émerveillement et peur.
-
Mouvement & frisson : vidéos courtes (15–30s) montrant des joueurs réagissant à des jumpscares, ou la foule applaudissant les e-sports.
-
Décor macabre subtil : intégrer fumée, néons vacillants, décorations d’Halloween pour créer un sentiment d’étrangeté continue.
Chaque photo devient plus qu’un document : un fragment de cauchemar collectif, à partager sur réseaux sociaux ou dans un article immersif.
️ Interviews : la voix des acteurs
Les mots complètent l’image.
-
Organisateurs PGW : expliquent les choix de programmation, l’ambiance Halloween, et comment les stands sont conçus pour l’immersion.
-
Développeurs indépendants : racontent la création de leurs jeux, leur démarche artistique et comment ils ont voulu provoquer des émotions.
-
Cosplayers et participants : témoignages sur leur préparation, leur inspiration et leur ressenti sur la foule et les animations.
-
Joueurs / visiteurs : micro-témoignages sur les frissons ressentis, les moments marquants, et les surprises inattendues.
L’interview transforme un simple reportage en récit vivant, où chaque voix ajoute un niveau de tension, d’humour ou de surprise.
Immersion sensorielle
Le reportage immersif ne s’arrête pas aux images et aux mots : il s’étend au son et au rythme :
-
Bruits ambiants des stands : machines, trailers, musique, cris, applaudissements.
-
Effets sonores des jeux : jumpscares, explosions, murmures numériques.
-
Rythme des déplacements : suivre la foule, les files d’attente, les réactions du public.
Le lecteur ressent alors la PGW non seulement comme un événement, mais comme une expérience sensorielle totale, où chaque élément — lumière, son, geste — participe à la tension et au plaisir.
Conseils pratiques pour l’immersion
-
Prévoir du matériel léger : compact, rapide à saisir, pour ne rien manquer.
-
Observer avant de photographier : capturer le moment exact où la surprise ou l’émotion atteint son apogée.
-
Respecter les participants : certaines réactions sont intenses, parfois personnelles, surtout dans les jeux d’horreur.
-
Se déplacer comme un explorateur : anticiper les déplacements dans les allées, éviter les zones trop bondées, repérer les points stratégiques pour les photos ou vidéos.
⚡ Pourquoi ce chapitre est essentiel pour game.fr
-
Transforme un article classique en expérience vivante.
-
Offre un angle immersif unique, qui mélange journalisme, storytelling et sensations.
-
Permet de capturer l’Halloween de la PGW, en mêlant frissons, émotions et créativité.
-
Génère du contenu visuel et narratif partageable sur réseaux sociaux, attirant à la fois lecteurs et visiteurs potentiels.
La PGW 2025, vue à travers ce prisme, cesse d’être un simple salon : elle devient un théâtre de lumière et d’ombre, un labyrinthe de sensations, où le joueur et le visiteur sont à la fois spectateurs et protagonistes.
Chaque cliché, chaque mot, chaque enregistrement sonore est une pièce du puzzle — le puzzle d’un cauchemar merveilleux, célébré sous la bannière d’Halloween.
Chapitre 8 — Survivre et profiter : conseils pratiques pour la PGW 2025
Se rendre à la Paris Games Week 2025 n’est pas une simple sortie.
C’est une expédition dans un labyrinthe de lumière, de sons et de pixels, où chaque détour peut être une surprise, et chaque stand, un mini-cauchemar excitant.
Pour que l’expérience reste magique et ne vire pas à la frustration, voici les conseils essentiels.
️ Billets et accès
-
Billets en ligne : indispensables pour éviter les files d’attente dès l’entrée.
-
Pass 1, 2 ou 4 jours : à choisir selon votre endurance et votre appétit pour les découvertes.
-
Billet Premium : pour ceux qui veulent explorer les stands phares sans perdre une heure dans les files.
-
Astuce Halloween : certains billets donnent accès à des zones spéciales décorées pour l’occasion, où les surprises sont nombreuses.
Entrée : Porte de Versailles, Halls 1 et 2.2, 1 place de la Porte de Versailles, 75015 Paris.
-
Métro ligne 12 – Porte de Versailles
-
Tram T2 ou T3a
-
Bus et parkings alentours pour ceux qui osent l’aventure en voiture.
️ Horaires et stratégie
-
Ouverture : 9h30
-
Fermeture : 21h (20h le dernier jour)
-
Paris Games Night : soirée spéciale le 29 octobre, pour les visiteurs sélectionnés.
Astuce : commencez par les stands les plus populaires (Little Nightmares III, Silent Hill 2 Remake, Elden Ring: Shadow of the Erdtree), puis explorez les zones indépendantes et retrogaming.
Le matin est plus calme et permet de profiter des avant-premières sans trop d’attente.
Équipement et confort
-
Chaussures confortables : le salon est vaste, et vous marcherez beaucoup.
-
Sac léger : pour transporter gourdes, appareil photo, powerbank, et quelques goodies.
-
Casque ou bouchons : entre les sons des trailers et des scènes e-sport, vos oreilles vous remercieront.
-
Vêtements adaptés : la température peut varier entre halls, zones e-sport et allées sombres.
Restauration et pauses
-
Plusieurs food corners sont répartis dans les Halls, mais les files peuvent être longues.
-
Astuce : petites collations et bouteille d’eau dans le sac pour tenir entre les repas.
-
Zones de repos : repérer les bancs et coins tranquilles pour souffler et préparer la prochaine expédition.
Frissons et immersion
-
Halloween est partout : néons oranges et violets, fumée, sons inquiétants, cosplay.
-
Prenez votre temps pour explorer les stands indépendants et retrogaming, où l’horreur et l’émerveillement sont à échelle humaine.
-
Ne sous-estimez pas l’impact émotionnel des jeux d’horreur immersifs : des pauses entre les expériences intenses peuvent vous aider à garder le plaisir.
⚡ Stratégies pour maximiser l’expérience
-
Planifier l’ordre des stands : éviter de perdre du temps dans les allées bondées.
-
Prendre des notes ou photos discrètes : pour se souvenir des jeux et surprises à revoir après.
-
Interagir avec les créateurs : poser des questions, tester les démos et s’imprégner des histoires derrière chaque jeu.
-
Respecter les files et l’espace des autres : surtout dans les zones e-sport et VR.
-
Se laisser surprendre : parfois, les meilleurs moments viennent des stands ou animations inattendus.
La Paris Games Week 2025 n’est pas un simple salon : c’est une aventure, un rite, un parcours où la curiosité, le courage et la patience sont vos meilleurs alliés.
Avec ces conseils, vous êtes prêts à vous perdre, explorer et vibrer, en gardant toujours à l’esprit que sous les lumières, les sons et les pixels, quelque chose — peut-être un peu effrayant, mais merveilleux — vous observe.
Chapitre 9 — L’Écho des Pixels : conclusion et atmosphère finale
Quand les portes de la Paris Games Week 2025 se referment, la foule se disperse, mais quelque chose reste.
Les néons vacillent encore dans la mémoire, les cris et les rires résonnent dans le creux des oreilles, et les images des jeux, cosplays et stands hantés persistent comme des ombres rémanentes.
Halloween a amplifié cette expérience. Les allées, les Halls, les scènes e-sport et les zones indépendantes se sont transformés en un labyrinthe vivant, où le frisson et l’émerveillement cohabitent à chaque pas.
Chaque joueur, chaque visiteur, devient un acteur de ce théâtre numérique, laissant derrière lui un souffle, un murmure, une empreinte invisible.
️ Le reflet des jeux et des émotions
-
Les blockbusters ont impressionné par leur puissance et leurs avant-premières spectaculaires.
-
Les studios indépendants ont charmé et effrayé avec des idées audacieuses et immersives.
-
Le retrogaming a rappelé la beauté brute et simple des pixels d’antan.
-
Les compétitions e-sport ont transformé l’adrénaline en un spectacle collectif, presque rituel.
Chaque expérience était une fenêtre ouverte sur l’imaginaire, et Halloween a servi de fil rouge, unissant les visiteurs dans un univers où l’ombre côtoie la lumière, et la peur, le plaisir.
Le rituel annuel
La PGW n’est pas qu’un salon : c’est un rite annuel, un rendez-vous avec l’anticipation et la surprise, où chaque édition raconte une nouvelle histoire.
Et cette année, la coïncidence d’Halloween a accentué le frisson : les visiteurs ne se contentent pas de jouer ou d’observer.
Ils ressentent, ils vivent, et, parfois, ils tremblent.
✨ Message final aux lecteurs de game.fr
Si vous n’avez pas encore franchi les portes de la PGW 2025, préparez-vous :
-
Chaussures confortables, yeux grands ouverts, et cœur prêt à battre au rythme des pixels et des frissons.
-
Attendez-vous à être surpris, émerveillé, et parfois un peu effrayé.
-
Laissez-vous guider par votre curiosité : chaque allée est une histoire, chaque stand un fragment de cauchemar merveilleux.
Et lorsque vous sortirez, le soir tombé sur Paris, vous comprendrez que les jeux vidéo sont plus qu’un loisir : ils sont des portes ouvertes sur des mondes où les peurs et les merveilles se mêlent, et où chaque joueur devient un explorateur du possible et de l’inattendu.
La Paris Games Week 2025, édition Halloween, restera gravée dans les mémoires.
Dans les allées, dans les écrans, dans les rires et les cris… un écho persistant de pixels hantés, qui murmure :
“Revenez l’année prochaine. Nous serons là, prêts à vous surprendre encore.”
-
Site officiel Paris Games Week — infos générales, billetterie, programme. parisgamesweek.com+1
-
Page programme (animations quotidiennes, stands). parisgamesweek.com
-
Communiqués/guide médias : Sortiraparis, CNews, Le Monde (couverture événementielle & listes de jeux). Sortiraparis+1